Les travaux, en général, ce n'est pas une partie de plaisir...
J'ai des souvenirs épouvantables liés à la réfection d'appartements avant emménagement, et de promesses non tenues des artisans:
V'zen faites pas ma p'tite dame, vot' parquet y s'ra posé avant qu'les meubles y z'arrivent... Comment? ahaa... y sont en bas de l'immeub'? Oui, mais faut dire aussi que....
Suivait en général un milliard et demi de bonnes raisons expliquant l'explosion des délais de livraison des dits travaux, et une crise d'hystérie de la p'tite dame se demandant ce qu'elle allait faire des meubles que le déménageur amenait. La seconde fois, ce fut à peu près le même scénario, en remplaçant juste 'parquet' par 'murs', 'pose' par 'ponçage' et 'meubles' par 'gnome'. Bref, l'enfer.
Et bien, j'ai trouvé aussi fort, sinon pire (à bien y réfléchir, c'est pire). Mon groupuscule (vu le nombre de membres, dire mon groupe me semble un peu présomptueux) doit emménager dans de nouveaux locaux depuis maintenant plus d'un an. Nous attendons un super labo, spacieux, où l'emplacement de chaque poste a été pensé dans un souci d'ergonomie maximal, et où de groupuscule, nous pourrons devenir groupe par la grâce du recrutement de nouveaux gentils membres.
Quand on connait un peu les rouages administratifs, un an de retard c'est limite dans la norme, pas de quoi se retrouver sous Prozac. C'était vrai jusqu'à aujourd'hui 13h45...
J'ai ainsi appris que la société qui avait fabriqué les paillasses, et accessoirement devait les monter a FERME. Et oui, l'étape suivant le redressement judiciaire, c'est la fermeture si rien ne s'arrange. Et comme je suis une chanceuse invétérée, rien dans les affaires de la société Nnn* ne s'est arrangé dans les délais impartis. Et donc ils ferment. Et donc, le gentil Monsieur qui avait commencé le montage des paillasses la semaine passée a aujourd'hui soigneusement rangé son outillage, fermé la porte et est parti pour ne jamais revenir.
Donc, c'est la CATA, la vraie. En plus, j'ai eu la désagréable surprise (au point où on en est, c'est limite anecdotique) de réaliser que ledit gentil Monsieur était "infoutu-capable" de lire un plan. Il m'a collé les éviers sur 2 paillasses consécutives au lieu de faire 1 sur 2 comme stipulé sur mon joli plan power-pointé. Non seulement il me plante avec des paillasses posées (sans émalite faut pas pousser) non raccordées eau-gaz-électricité, mais en plus ce gros naze m'a installé les 2 seuls éviers du labo côte à côte....
* je tairai son nom par charité
J'ai des souvenirs épouvantables liés à la réfection d'appartements avant emménagement, et de promesses non tenues des artisans:
V'zen faites pas ma p'tite dame, vot' parquet y s'ra posé avant qu'les meubles y z'arrivent... Comment? ahaa... y sont en bas de l'immeub'? Oui, mais faut dire aussi que....
Suivait en général un milliard et demi de bonnes raisons expliquant l'explosion des délais de livraison des dits travaux, et une crise d'hystérie de la p'tite dame se demandant ce qu'elle allait faire des meubles que le déménageur amenait. La seconde fois, ce fut à peu près le même scénario, en remplaçant juste 'parquet' par 'murs', 'pose' par 'ponçage' et 'meubles' par 'gnome'. Bref, l'enfer.
Et bien, j'ai trouvé aussi fort, sinon pire (à bien y réfléchir, c'est pire). Mon groupuscule (vu le nombre de membres, dire mon groupe me semble un peu présomptueux) doit emménager dans de nouveaux locaux depuis maintenant plus d'un an. Nous attendons un super labo, spacieux, où l'emplacement de chaque poste a été pensé dans un souci d'ergonomie maximal, et où de groupuscule, nous pourrons devenir groupe par la grâce du recrutement de nouveaux gentils membres.
Quand on connait un peu les rouages administratifs, un an de retard c'est limite dans la norme, pas de quoi se retrouver sous Prozac. C'était vrai jusqu'à aujourd'hui 13h45...
J'ai ainsi appris que la société qui avait fabriqué les paillasses, et accessoirement devait les monter a FERME. Et oui, l'étape suivant le redressement judiciaire, c'est la fermeture si rien ne s'arrange. Et comme je suis une chanceuse invétérée, rien dans les affaires de la société Nnn* ne s'est arrangé dans les délais impartis. Et donc ils ferment. Et donc, le gentil Monsieur qui avait commencé le montage des paillasses la semaine passée a aujourd'hui soigneusement rangé son outillage, fermé la porte et est parti pour ne jamais revenir.
Donc, c'est la CATA, la vraie. En plus, j'ai eu la désagréable surprise (au point où on en est, c'est limite anecdotique) de réaliser que ledit gentil Monsieur était "infoutu-capable" de lire un plan. Il m'a collé les éviers sur 2 paillasses consécutives au lieu de faire 1 sur 2 comme stipulé sur mon joli plan power-pointé. Non seulement il me plante avec des paillasses posées (sans émalite faut pas pousser) non raccordées eau-gaz-électricité, mais en plus ce gros naze m'a installé les 2 seuls éviers du labo côte à côte....
* je tairai son nom par charité
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