Ce qui nous fait tous trembler actuellement, c’est d’être répertorié « chercheur non-publiant » par l’AERES.
Car une fois l’étiquette collée, on peut prédire sans peine que l’avenir des chercheurs ou enseignants-chercheurs concernés va tourner au cauchemar.
Nous avons déjà vu la répercution d’un non-publiant sur le budget d’un institut.
La conséquence directe de ce plombage budgétaire est que les instituts n’ont aucun intérêt à accueillir une telle personne, bien au contraire puisqu’elle diminuerait leur performance bibliométrique.
D’un autre coté, et toujours selon la même logique, les instituts ont tout intérêt à se défaire de leurs chercheurs ou enseignants-chercheurs non productifs.
Mais où vont donc aller ces personnes si personne ne souhaite les accueillir ? Le problème est de taille, d’autant que faisant partie du corps des fonctionnaires, il faut bien trouver une solution.
D’aucuns suggèrent de réserver aux non-publiants la charge de l’enseignement dans les premières années universitaires. En d’autres termes, ils se consacreraient totalement à l’enseignement, et n’auraient plus aucune activité de recherche. Certes, mais la spécificité de l’enseignement universitaire est justement d’être intimement liée à la recherche.
De plus, on appréciera le paradoxe qui consiste d’une part à juger des personnes inefficaces et de s’empresser d’autre part de les envoyer former les futurs diplomés de l’enseignement supérieur…
A moins que la solution soit encore plus noire, et surtout non publicisée… rumeur ou réalité, l’avenir nous le dira très vite.
Car une fois l’étiquette collée, on peut prédire sans peine que l’avenir des chercheurs ou enseignants-chercheurs concernés va tourner au cauchemar.
Nous avons déjà vu la répercution d’un non-publiant sur le budget d’un institut.
La conséquence directe de ce plombage budgétaire est que les instituts n’ont aucun intérêt à accueillir une telle personne, bien au contraire puisqu’elle diminuerait leur performance bibliométrique.
D’un autre coté, et toujours selon la même logique, les instituts ont tout intérêt à se défaire de leurs chercheurs ou enseignants-chercheurs non productifs.
Mais où vont donc aller ces personnes si personne ne souhaite les accueillir ? Le problème est de taille, d’autant que faisant partie du corps des fonctionnaires, il faut bien trouver une solution.
D’aucuns suggèrent de réserver aux non-publiants la charge de l’enseignement dans les premières années universitaires. En d’autres termes, ils se consacreraient totalement à l’enseignement, et n’auraient plus aucune activité de recherche. Certes, mais la spécificité de l’enseignement universitaire est justement d’être intimement liée à la recherche.
De plus, on appréciera le paradoxe qui consiste d’une part à juger des personnes inefficaces et de s’empresser d’autre part de les envoyer former les futurs diplomés de l’enseignement supérieur…
A moins que la solution soit encore plus noire, et surtout non publicisée… rumeur ou réalité, l’avenir nous le dira très vite.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire