…. mironton, mironton, mirontaine…
Le labo n’arrive pas (bis).
Et ce n’est franchement pas drôle. Suite donc du chantier permanent qui est sensé être mon labo.
Rappel des épisodes précédents pour ceux qui n’ont pas suivi, et n’ont pas le courage de lire l’article original :
Mon groupuscule doit déménager dans de nouveaux locaux, hyper-top et fonctionnels après travaux.
La société chargée de la fabrication et de l’installation des paillasses, fait faillite en cours de chantier. Tout s’arrête.
Les nouveaux épisodes :
Où je crois enfin que la situation se débloque :
Après moult démélées avec l’adjudicateur, nous arrivons à négocier qu’une autre société puisse terminer le chantier sans que cela ne nous coute un centime (facture à déduire de ce que nous devions régler au faillitaire). Aussi incroyable que cela puisse paraître, nous trouvons même une société qui accepte cette reprise de chantier, et qui intervient dans des délais raisonnables (début mars quand même…).
Où je doute que le labo soit livré à Pâques :
La société ne reprend pas l’installation électrique, laissée à charge de l’atelier interne. Pas gagné, et effectivement pas réalisé à Pâques. Entretemps, je suis mise hors service par une infame spyrochète qui trainait dans la même forêt que moi… Pendant un mois, je ne ferai plus de suivi de chantier, erreur fatale nous allons le voir.
Où j’espère contre toute logique, que nous déménagerons avant la Trinité :
Mais si ma p’tite dame, vous inquiétez pas, y’a plus grand’chose à faire, vous pourrez déménager pendant la semaine 17 (en clair, cette semaine là, tout de suite maintenant). Ce qui me laisse un peu perplexe, vu que le chauffe-eau n’est pas raccordé, le compteur électrique pas installé, la pièce technique toujours intouchée (hotte non raccordée, paillasses non installées, électricité et plomberie à faire…). Mais parfois, on a envie de croire ce qu’on entend, c’est bon pour le moral.
Où je comprends qu’on a du temps pour faire les paquets :
Début de semaine passée, un autre labo de l’institut entre en travaux… Je me permets un commentaire un peu acerbe sur la date à laquelle nous pourrons prendre possession des locaux, et m’entends répondre qu’il doit y avoir belle lurette que je ne suis pas allée voir les locaux et que "çà a bien avancé"… l’espoir renait, nous pourrions peut-être y être mi-mai ??? M’en vais aller voir çà de plus près.
Où j’hésite entre pleurer, hurler, et/ou tout casser :
Zen….(moi aussi zen beaucoup). C’est la première chose qui m’a traversé l’esprit
Avant que je n’aille pleurer sur une épaule compatissante, me suicider par over-dose de glace caramel au beurre salé, trucider la cellule travaux à coup de pipetman, rayez la mention inutile, je vous laisse juge de ce que je voulais (à gauche) et de ce que j’ai (à droite) :
En gros, une salle de TP vu la quantité de postes gaz (les G dans les points vert) installés et raccordés, sinon ce n’est pas drôle. En revanche, çà ne gène personne de me supprimer des prises sous-paillasse pour brancher frigos et congélos, ni de me mettre les deux éviers côte à côte… Les forces vives du labo n’auront qu’à s’équiper de rollers s’ils trouvent que les distances à parcourir à longueur de journée sont trop importantes…Et encore, je ne commente même pas le fait qu'ayant demandé des paillasses PS1 j'ai récupéré des Curie (petite arnaque du faillitaire pas détectée par les personnes ayant validé le devis...).
Mais je vous rassure, hein, il n’y a toujours pas l’électricité dans la pièce ! Quant à la pièce technique, on n’en parle même plus….
Le labo n’arrive pas (bis).
Et ce n’est franchement pas drôle. Suite donc du chantier permanent qui est sensé être mon labo.
Rappel des épisodes précédents pour ceux qui n’ont pas suivi, et n’ont pas le courage de lire l’article original :
Mon groupuscule doit déménager dans de nouveaux locaux, hyper-top et fonctionnels après travaux.
La société chargée de la fabrication et de l’installation des paillasses, fait faillite en cours de chantier. Tout s’arrête.
Les nouveaux épisodes :
Où je crois enfin que la situation se débloque :
Après moult démélées avec l’adjudicateur, nous arrivons à négocier qu’une autre société puisse terminer le chantier sans que cela ne nous coute un centime (facture à déduire de ce que nous devions régler au faillitaire). Aussi incroyable que cela puisse paraître, nous trouvons même une société qui accepte cette reprise de chantier, et qui intervient dans des délais raisonnables (début mars quand même…).
Où je doute que le labo soit livré à Pâques :
La société ne reprend pas l’installation électrique, laissée à charge de l’atelier interne. Pas gagné, et effectivement pas réalisé à Pâques. Entretemps, je suis mise hors service par une infame spyrochète qui trainait dans la même forêt que moi… Pendant un mois, je ne ferai plus de suivi de chantier, erreur fatale nous allons le voir.
Où j’espère contre toute logique, que nous déménagerons avant la Trinité :
Mais si ma p’tite dame, vous inquiétez pas, y’a plus grand’chose à faire, vous pourrez déménager pendant la semaine 17 (en clair, cette semaine là, tout de suite maintenant). Ce qui me laisse un peu perplexe, vu que le chauffe-eau n’est pas raccordé, le compteur électrique pas installé, la pièce technique toujours intouchée (hotte non raccordée, paillasses non installées, électricité et plomberie à faire…). Mais parfois, on a envie de croire ce qu’on entend, c’est bon pour le moral.
Où je comprends qu’on a du temps pour faire les paquets :
Début de semaine passée, un autre labo de l’institut entre en travaux… Je me permets un commentaire un peu acerbe sur la date à laquelle nous pourrons prendre possession des locaux, et m’entends répondre qu’il doit y avoir belle lurette que je ne suis pas allée voir les locaux et que "çà a bien avancé"… l’espoir renait, nous pourrions peut-être y être mi-mai ??? M’en vais aller voir çà de plus près.
Où j’hésite entre pleurer, hurler, et/ou tout casser :
Zen….(moi aussi zen beaucoup). C’est la première chose qui m’a traversé l’esprit
Avant que je n’aille pleurer sur une épaule compatissante, me suicider par over-dose de glace caramel au beurre salé, trucider la cellule travaux à coup de pipetman, rayez la mention inutile, je vous laisse juge de ce que je voulais (à gauche) et de ce que j’ai (à droite) :
En gros, une salle de TP vu la quantité de postes gaz (les G dans les points vert) installés et raccordés, sinon ce n’est pas drôle. En revanche, çà ne gène personne de me supprimer des prises sous-paillasse pour brancher frigos et congélos, ni de me mettre les deux éviers côte à côte… Les forces vives du labo n’auront qu’à s’équiper de rollers s’ils trouvent que les distances à parcourir à longueur de journée sont trop importantes…Et encore, je ne commente même pas le fait qu'ayant demandé des paillasses PS1 j'ai récupéré des Curie (petite arnaque du faillitaire pas détectée par les personnes ayant validé le devis...).
Mais je vous rassure, hein, il n’y a toujours pas l’électricité dans la pièce ! Quant à la pièce technique, on n’en parle même plus….
3 commentaires:
D'habitude je suis nulle au jeu des 7 erreurs mais là c'est presque trop facile ! ;-)
Allez, courage !
P'tain he, heureusement que tu donnes la reponse, pass'que moi au jeu des 7 differences, je suis trop nul...
Et c'est quoi les paillasses Curie?
Les Curie sont plus hautes que les PS1 de manière significative, et n'ont pas de bandeau sous-paillasse. La différence de hauteur m'oblige à racheter tous les tabourets de labo, si je ne veux pas que les zozos aient le menton sur la paillasse. De plus, ma tech est du genre pas très grande, j'envisage un réhausseur pour qu'elle puisse travailler debout sans être inconfortable.... Bref, çà m'énerve, mais finalement moins que les prises de gaz...
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