J'ai passé l'âge de croire aux lendemains qui chantent. Néanmoins, j'ai le coeur empli d'espoir pour les années à venir. D'un strict point de vue corporatiste, nous l'avons échappé belle. La recherche française en général, et le CNRS en particulier, n'auraient pas survécu à un second quinquennat sarkozien. Je ne fais pas une confiance aveugle au nouveau président en ce qui concerne la politique de recherche. Mais quelque part, je me dis que ça peut difficilement être pire que ce que nous avons connu. Et du moins, une certaine justice, et un peu d'honneur seront remis au goût du jour dans ce pays. Alors, ce soir, je savoure ma joie, demain sera là bien assez tôt.
1 commentaire:
Amen sister!
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