Là ? Rien de nouveau sous le soleil, la malédiction du voyageur est toujours en pleine activité comme vous allez le constater.
Je suis donc partie à Boston, faire une cure de science de l’autre coté de l’Atlantique. De toutes mes galères d’avion, je pense que ce dernier vol sera dans mes favoris. Environ trois heures après le décollage, nous avons eu une annonce : « y a t’il un médecin dans l’avion ? Si oui, qu’il se fasse connaître de toute urgence ».
A ce moment, je n'ai pu m’empêcher de penser qu’avec ma chance légendaire, le pilote devait être sub-claquant. Fort heureusement, la situation n’était pas aussi dramatique, bien que grave. La chef de cabine de la Business Class avait fait un malaise cardiaque, suffisamment sérieux pour que notre vol soit détourné sur l’Islande. Atterrissage sur l'aéroport de Keflavik, évacuation de la malade, re-fuel, puis attente d’un créneau pour pouvoir décoller vers Boston. A l’arrivée, 4h30 de retard (pour un vol censé durer 8 heures), et donc pas de shopping à Harvard Square …
Il ne me reste plus qu’à croiser les doigts pour le retour.
Bien entendu, nous avions également eu une galère en allant à Edimbourg, mais tellement classique qu’elle ne mérite pas d’être mentionnée.
Je suis donc partie à Boston, faire une cure de science de l’autre coté de l’Atlantique. De toutes mes galères d’avion, je pense que ce dernier vol sera dans mes favoris. Environ trois heures après le décollage, nous avons eu une annonce : « y a t’il un médecin dans l’avion ? Si oui, qu’il se fasse connaître de toute urgence ».
A ce moment, je n'ai pu m’empêcher de penser qu’avec ma chance légendaire, le pilote devait être sub-claquant. Fort heureusement, la situation n’était pas aussi dramatique, bien que grave. La chef de cabine de la Business Class avait fait un malaise cardiaque, suffisamment sérieux pour que notre vol soit détourné sur l’Islande. Atterrissage sur l'aéroport de Keflavik, évacuation de la malade, re-fuel, puis attente d’un créneau pour pouvoir décoller vers Boston. A l’arrivée, 4h30 de retard (pour un vol censé durer 8 heures), et donc pas de shopping à Harvard Square …
Il ne me reste plus qu’à croiser les doigts pour le retour.
Bien entendu, nous avions également eu une galère en allant à Edimbourg, mais tellement classique qu’elle ne mérite pas d’être mentionnée.
3 commentaires:
Il se trouve que ça arrive de plus en plus souvent, ces malaises de voyageurs (un vol sur trois selon mes récentes expériences). Qu'est-ce que ce sera quand on volera en A380 ! Et à chaque fois, on vide les réservoirs au-dessus de l'océan, cela pour un misérable infarctus ou une petite embolie pulmonaire. La dernière fois, c'était une passagère souffrant de teigne, qui a fait une hémorragie. Grrr
Tant que t'es de ce cote de l'etang, si tu veux faire un petit detour par chez moi tu es la bienvenue!! C'est juste a 2 avions de Boston (aller + 2 avions retour. Ca te permettrait de tester un peu plus ton hypothese :))))
@maf => un peu tard l'e-vit, sinon j'aurai bien accepté !!!
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