Normalement, on pourrait s'attendre quand on emménage dans de nouveaux locaux réhabilités, à ce que:
1- l'installation corresponde aux plans établis
2- les normes minimales de sécurité en vigueur soient respectées
3- les équipements aient été vérifiés
4- le chantier ait été nettoyé
Mais il faut se rendre à l'évidence, sur les berges de la Mérantaise, ces standards n'ont pas cours. Avec deux ans de retard sur la date prévue, nous avons enfin pu nous installer dans nos nouveaux locaux dont je savais déjà que la pièce principale ne correspondait pas à ce que j'avais demandé.
Il se trouve que la pièce technique est un pur cauchemar. Elle ne ressemble que très moyennement à ce qui était demandé, et surtout elle comporte un florilège de réalisations dangereuses pour les utilisateurs:
- Fil dénudé trainant au sol (bon, en fait pas si grave, vu que la hotte n'a pas été raccordée électricité ... raccordement devant être réalisé en priorité)
- Ma préférée, bloc de prises au dessus de l'évier
- Pas de lumière dans les locaux, rendant les manipulations après le coucher du soleil hum, comment dire aléatoires?
- Trou dans le mur extérieur (30 x 30 quand même), nous permettant d'avoir une chambre froide naturelle, faute d'avoir obtenu l'installation de celle qu'on nous avait promis (trop cher parait-il). Prévoir un budget mitaines et grog pour cet hiver.
Franchement c'est vrai, pourquoi installer deux équipes juniors de biochimie et leur donner des conditions décentes de travail? Nous craignons tous l'évaluation de l'AERES, mais en fait le travail de sape est bel et bien initié au niveau local.
Je ne perds pas espoir que la situation s'améliore dans le moyen terme. J'ai en effet eu l'agréable surprise de voir le vitrier ce matin. Il est finalement venu remplacer un carreau cassé il y a 18 mois, intervention qui avait été reclassée "urgentissime" il y a deux semaines par la responsable sécurité. Donc maintenant, j'ai l'échelle de temps utilisée sur le campus... dans un an, si tout va bien, les locaux devraient être conformes à mes besoins.
1- l'installation corresponde aux plans établis
2- les normes minimales de sécurité en vigueur soient respectées
3- les équipements aient été vérifiés
4- le chantier ait été nettoyé
Mais il faut se rendre à l'évidence, sur les berges de la Mérantaise, ces standards n'ont pas cours. Avec deux ans de retard sur la date prévue, nous avons enfin pu nous installer dans nos nouveaux locaux dont je savais déjà que la pièce principale ne correspondait pas à ce que j'avais demandé.
Il se trouve que la pièce technique est un pur cauchemar. Elle ne ressemble que très moyennement à ce qui était demandé, et surtout elle comporte un florilège de réalisations dangereuses pour les utilisateurs:
- Fil dénudé trainant au sol (bon, en fait pas si grave, vu que la hotte n'a pas été raccordée électricité ... raccordement devant être réalisé en priorité)
- Ma préférée, bloc de prises au dessus de l'évier
- Pas de lumière dans les locaux, rendant les manipulations après le coucher du soleil hum, comment dire aléatoires?
- Trou dans le mur extérieur (30 x 30 quand même), nous permettant d'avoir une chambre froide naturelle, faute d'avoir obtenu l'installation de celle qu'on nous avait promis (trop cher parait-il). Prévoir un budget mitaines et grog pour cet hiver.
Franchement c'est vrai, pourquoi installer deux équipes juniors de biochimie et leur donner des conditions décentes de travail? Nous craignons tous l'évaluation de l'AERES, mais en fait le travail de sape est bel et bien initié au niveau local.
Je ne perds pas espoir que la situation s'améliore dans le moyen terme. J'ai en effet eu l'agréable surprise de voir le vitrier ce matin. Il est finalement venu remplacer un carreau cassé il y a 18 mois, intervention qui avait été reclassée "urgentissime" il y a deux semaines par la responsable sécurité. Donc maintenant, j'ai l'échelle de temps utilisée sur le campus... dans un an, si tout va bien, les locaux devraient être conformes à mes besoins.
Je renonce finalement à publier des photos. Par pitié pour l'honneur de notre institut et de l'université dont il dépend.
7 commentaires:
Et de l'autre cote de l'ocean...Dans le cote obscur de la force... Attends... En fait, ca vaut un post... A suivre chez moi, sous peu, donc...
Je sais pas pourquoi, j'ai comme dans l'idée que çà va m'énerver...
T'inquiete pas Roberta, tout n'est pas comme le decrit le Piou ici... On est aussi au coeur d'un demenagement/remodelage/construction d'un nouveau batiment.
On devait avoir change de locaux il y a deux mois , juste avant l'arrivee d'une thesarde et d'un nouveau postdoc. Ils sont arrives mais on n'a toujours pas bouge (c'est bien on se tient chaud, tu me diras) et on ne bougera surement pas avant 2009 pour cause de travaux inacheves, puis acheves mais en fait pas tout a fait comme il le fallait, donc a re-achever.
Poutant le fric est la!
çà rassure!!
HE j'ai bien precise que je parlais d'un point de vue bien particulier: outre-atlantique et surtout dans le prive... Bon et en plus desole Mafalda, mais j'ajoute: ET en Californie... :-P
Oui, oui, on comprend bien...dans les boîtes privées de l'état gouverné par Schwarzenegger !
Cécile
Euh, je vois pas ce que Terminator vient fouttre la... Je disais ca pass'que Maf', elle bosse au Montana... Enfin bon, rien de mal a vivre au Montana, hein...
;-)
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